Quelques unes de retranscrites

Il ne se passe pas un jour sans que je que je ne me pose des questions philosohiques, ne me remette en cause, ne doute de notre système social, de notre monde, de la finalité de mon existence et de celle des gens qui m'entourent, ...

En ce qui concerne les questions existencielles, j'aboutit fréquemment sur le mode de pensée édeniste pris à sa racine : si nous sommes là, c'est pour éprouver du plaisir et le partager.

C'est là que j'emploie le therme plaisir en son sens le plus large. Cela passe par :

La colère, la gourmandise, la luxure, l 'envie, la paresse, l 'orgueil et l 'avarice.

Ceux que je désapprouve personellement le plus sont les 3 derniers.

En voici qques exemples parmi les plus courants :

* la quète de la connaissances qu'elle soit scientifiques, littéraire ou quelque soit le qualitatif dont nous, les humains, lui avons attribué.

* la recherche de la vérité, de la compréhension des chose qui nous entoure : la curiosité en son sens le plus large

* la connaissance de ses limites qu'elles soit morales, physiques ou intellectuelles pour employer des thermes que d'autres ont créés bien avant nous et dont nous ne parvenons et ne parviendrons jamais à délimiter la nature et l'influence. Cette recherche, sans cesse remise à l'épreuve faute de satisfaction humainement indéfiniment atteignable, passe par les défis et compétitions sportives, intellectuelles (essentiellement basée sur la création ou l'utilisation de règles prédéfinies pour sur-élever le niveau, relever le défi,...), ...

ô combien d'artisans, artistes, grands créateurs / inventeurs ou même simple travailleurs (car dans toute action il y a création, siminime soit elle) pourront témoigner du plaisir sans commune mesure avec les précédents plaisirs, qu'il auront pu éprouver à réaliser leur projet, à s'adonner à leur passion de manière acharnée.

L'effort qui paye et moralement gratifiant et procure énormément de plaisir. Il est cependant le plus rare et le mois évident de tous les plaisirs précédents.

Et c'est bien cette rareté qui contribue justement à la qualité, la profondeur émotionnelle ressentie.

* la relation avec avec d'autres entités vivantes bien plus fréquente dans le cas des humains que dans celui des autres espèces. Il existe une grande richesse de variété de formes relationnelles entre 2êtres. Par émotion "grandissante",on parle souvent de la camaraderie, de l'amitié, de l'amour : un peu, beaucoup, à la folie, passionément aboutissant ainsi à l'adoration :

Le sentiment de complicité s'oppose à celui de l'isolement (qui peut s'avérer être peu gratifiant suivant la conjoncture).

Il procure un sentiment de valorisation assez spécifique où l'on apprécie avec grand plaisir la qualité, la force de la relation qui unis les complices en questions.

Cette sensation peut être tantôt noble (acte désintéressé d' aide de son prochain, penser un peu plus aux autres qu'à soi même, ...), tantôt fourbe (acte intéressé visant indirectement à combler un besoin autre que relationnel)

* la croyance en une divinité, une entité supérieure à qui on puisse faire confiance, à laquelle on puisse confier ces secrets les plus terribles (la confession apporte un soulagement morale indéniable), qui puisse nous faire réver à un avenir imaginaire idéalisé dans lequel on prend plaisir à se réfugier lorsque l'on ne se sent pas à l'aise dans le monde réel. La religion fait également parti des nécessités naturelles relationnelles de l'homme équilibré.

Quand je dis équilibré, je souligne un point primordial qui nous permet d'accéder au bien-être, plaisir de sentir bien 'dans sa peau'.

Nous sommes d'autant plus conscients de l'importance de notre existence que nous nous efforcons d'équiliber notre vie.

Personnellement, je recherche cette équilibre...

en compensant mes études en optique, électronique et informatiques : sciences d'actualité , par le retranchement à travers le jeu de rôle, les spectacles, la musique et le dessin dans un cadre mediéval.

Ceci est un exemple de recherche d'un équilibre social temporel et technique/artistique.

Moi même comme vous tous prenons également plaisir à nous fixer des repères temporels, des habitudes régulières que l'on prendra et qui nous procureront une certaine assurance de continuité de la ligne de notre vie, ce qui a tendance à nous rassurer inconsciemment.

Une autre remarque relativement évidente vis à vis des plaisirs : plus on les diversifie, plus on les apprécie de manière générale.

La monotonie est un frein progressif au plaisir : la diversité des plaisirs traduit en quelque sorte une certaine forme de richesse de vie.

En ce qui concerne la facilité d'obtention des plaisirs, il est important à long terme de savoir bien la doser et de ne pas toujours se cantonner aux plus accessibles d'entre eux.
Les plaisirs les plus faciles sont ceux de l'observateur (vie quotidienne, télévision pour les plus casanniers (le summum de la paresse dans le domaine du plaisir)), la musique (radios, CDs,cassettes...), la lecture (très appréciable moralement mais non suffisante).
Suit une catégorie un peu évoluée de 'difficulté d'accès' au plaisir qui nécessite de se déplacer spécifiquement pour rentrer dans un cadre + ou - inhabituel: le 7 ème art, le théatre, les concerts, l'opéra, les spectacles (sons et lumière, thèmatiques, cosplay, festivals, foire, fête forraine,...), les expositions et les galleries d'art... LE jeu de rôle pourrait se placer à partir d'içi jusqu'au 2 prochaines catégories suivant la qualité de préparation et d'environnement. Le voyage aux 4 coins du monde est de loin le summum de cette catégorie.
Vient ensuite la catégorie des plaisirs qui s'obtiennent avant tout par l'affort physique permettant de mieux se sentir dans sa peau, dans son enveloppe corporelle/physique. Ceci concerne tous les sports et peut être d'autres choses encore (comme les boîtes de nuit).
Enfin, on arrive à une catégorie où c'est à nous d'agir pour donner du spectacle. C'est là nous même, corps et âme qui nous nous investissons dans une activité faisant appel à un maximum de nos aptitudes, qui puisse à la fois nous faire plaisir directement personnellement, mais aussi communiqué ce plaisir à nos spectateurs.
Avant tout pour les 'jeunes' (la jeunesse est le début de notre vie, elle s'écoule très vite, et c'est à ces moments à qu'on a souvent le plus d'opportunités de jouir de ce que nous offre cette vie), les colonies, camps et autres centres de vaquances et d'activitées des plus diverses sont de très bonnes choses que je conseille à tous les parents de faire connaitre à leurs enfants. Participer à des clubs ou associations sportives ou artistiques s'avère être un gain en richesse de vie très appréciable moralement (car appréciable personellement, socialement et psychologiquement (permet de se changer les idées)).
Qui plus est, ces dernières activités sont ouvertes à tous. Et même pour les adultes, faire recto verso sur les plages n'est de loin pas la meilleure (ou du moins la plus gratifiante) façon de passer ces vaquances. Mieux vaut priviligier les parcs et associations proposant le plus large pannel possible d'activitées.

Ce sont également tous ces conseils qui vous permettront de vous différencier de l'individu quelquonque qui se contente du métro/boulot/dodo, avec tout juste un peu de discussion dans un cadre strictement familial et professionnel.
Et se différencier d'autrui est pour l'homme un plaisir, une tendance bien connue.
 

Je tiens à préciser que je ne suis ni raciste, ni misogyne, athé mais croyant tout de même par intermittance en nombre de mes contemporains et en plusieurs principes/préceptes dont mon site vous donnera déjà une assez bonne idée.

  

 

A présent, je vais vous lister les leçons de morales / proverbes sur lesquelles je reviens le plus souvent (elles n'ont qu'un sens très limité et même partiellemnt erroné sans leur contexte, mais elle donne déjà matière à penser) :

" La vie est une question de priorité" soit de manière plus rigoureuse, la vie est parsemée de choix qui peuvent parfois entrainer des conséquences bien désastreuses quand on les ignore.

CARPE DIEM : Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie : C'est au jour le jour qu'il faut vivre, profiter de la vie, car on n'est jamais sur de ce que que nous réserve le lendemain.

Ne jamais remettre à plus tard ce qui peut-être fait maintenant.

Mieux vaut privilégier la qualité à la quantité.

Ne reporter jamais au lendemain ce que vous pouvez faire dans des circonstances proches sinon meilleures le jour même.


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